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 party hard. (pv; youngwoo)

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MessageSujet: party hard. (pv; youngwoo)   party hard. (pv; youngwoo) Icon_minitimeDim 20 Nov - 3:20

Corée du Sud ; Séoul. Cet air me paraissait si étranger et à la fois si habituel, j’en étais perdue. Non, je ne rêve pas, je suis bien à Séoul, ça fait tellement longtemps. J’avais pourtant jurée qu’à moins qu’une chose exceptionnelle se produise, je ne remettrais pas les pieds ici avant longtemps. Je n’ai jamais osé le dire, mais je ne me suis jamais sentie vraiment Coréenne, à part mon nom et les origines de mes parents en quelques sortes, je ne me sens pas appartenir à cette patrie. C’est honteux je l’avoue, et on ne me prendra pas à le dire à haute voix sous peine de me faire pleinement lapider, et dans un sens je peux le comprendre. Et fière comme je suis, ne renonçant jamais mes principes, qu’est-ce que je fais ici ? Hm, oui c’est une longue histoire, et j’assume mes faiblesses. Je ne pouvais me résoudre à rester seule, moi à new york, et lui partie à l’autre bout de la planète sans que je puisse avoir des nouvelles de lui comme je le voudrais. Maman m’avait déjà dissuadé de partir, mais je ne l’ai pas écouté, comme d’habitude je n’en ai fait qu’à même tête. J’avoue avoir pris cette décision sur un coup de tête, mais pourquoi réfléchir quand ce sont les sentiments qui parlent ? Peut-être qu’un jour je le regretterai, peut-être pas, mais j’assumerai les conséquences de mes actes. Ca fait bientôt plus de deux ans que ma vie a été entièrement chamboulée. Depuis l’accident de Young Woo j’ai du stopper tout activité pour rester à son chevet, j’étais disponible pour lui vingt quatre heures sur vingt quatre et sept jours sur sept. Peu de gens auraient osé perdre deux ans comme ça, mais moi je l’ai fait. Et maintenant que j’aurais pu reprendre en quelques sortes le cours normal de mon existence je décide de me déplacer à des kilomètres de chez moi pour le suivre. Parfois ma folie et mon irrationalité me joueront des tours, un jour. Enfin, rien que le fait de penser que je devrais m’accorder à la vie de séoulïtes me perturbait déjà. A peine arriver, la vie à NY me manquait énormément, et mes relations aussi. Tout quitter pour une personne, il fallait oser, n’est-ce pas ? Ca faisait d’ailleurs deux ans que j’avais déserté les bancs de l’école et je ne m’imaginais pas revenir déjà, encore moins dans un autre pays, de plus rien que de m’imaginer le fait que je serais un peu plus vielle que les autres me rendait encore plus réticente. J’avais en plus déjà visité l’université, et je ne la sentais pas plus que ça, ma future scolarité s’annonçait déjà difficile. Vu comme ça, j’avais l’impression de ne vois que les points négatifs, mais en réalité il y avait pas mal de point positifs… du moins un déjà qui effaçait tous les points négatifs aussi nombreux qu’ils soient ; revoir enfin Young Woo. Ca ne faisait que quelques mois et j’avais déjà l’impression que c’était une éternité.

Etrange, pouvoir penser à autant de choses alors que le contexte ne s’y pretait pas. C’est surement la longue distance et le ronronnement du moteur du taxi qui m’a berçait. J’étais à moitié endormie, à moitié éveillée et je « rêvais » s’en vraiment m’en rendre compte. Il me parlait et je me contentais d’acquiescer sans vraiment comprendre ce qu’il racontait, essayant de rester polie je ne voulais pas le couper. J’imagine qu’il essayait de me mettre à l’aise, ayant remarqué que j’avais l’air un peu crispée et peu à l’aise. Je regardais à travers la fenêtre le paysage de Séoul, me sentant quelques peu dépaysée. Je ne reconnaissais rien, et je ne pensais pas m’accommoder à tout cela très rapidement, j’ai toujours été une quiche quand il s’agissait de m’orienter, mon sens de l’orientation est aussi aiguisé que celui d’une moule. Je sentais déjà de loin la facture astronomique que papa allait devoir payer pour les multiples tours en taxi que je ferai. Ah oui, papa, c’est vrai, j’ai failli l’oublier tellement mon esprit étai obnubilé par le fait de revoir Young Woo. Sans avoir été vraiment proche de lui, je ne pense pas que l’on se traire comme des étrangers non plus, juste que je suis beaucoup plus proche de maman… en plus, j’imagine que pour changer il doit souvent être absent alors sa présence ou sa non présence n’affectera pas vraiment mon séjour ici, du moins je l’espère. Pour dire, je l’avais eu au téléphone il n’y a pas longtemps, pour qu’il m’eplique brièvement comment j’allais me débrouiller, pour éviter de me perdre, et pour m’indiquer comment j’aurais les clés de l’appartement et tout le reste, et c’est un peu comme si je parlais à un viel ami, ou du moins une vielle connaissance, mais pas du tout à mon père. Bref, nous étions enfin rentrés dans le cœur de la ville, et je sentais que nous étions bientôt arrivés. Il essayait de me rassurer, il avait bien du remarquer que je commençais vraiment à me lasser, j’ai toujours détesté les longs trajets en voiture. Je ne savais même plus à quoi ressemblait le bâtiment. Comme une gamine d’à peine une dizaine d’années, il ne fallait pas que j’oublie de prévenir maman que tout ce passait bien, et que je n’étais pas encore morte pour je ne sais quelles raisons qu’elle ne cessait de m’évoquer après que je lui aie annoncé mon désir de partir. D’un côté, je comprenais tout à fait sa souffrance, ces deux joyaux grandissaient et se retrouvaient loin d’elle et impuissante elle ne pouvait rien faire à cela… même si je l’adore, parfois je la plaignais parfois d’être aussi dépendante à nous. J’espère sincèrement que je ne finirais pas comme elle, même si mine de rien j’étais en bonne voix pour.

« Mademoiselle, je mets fin à votre calvaire. » Une façon bien sympathique de me prévenir que j’étais enfin arrivée à destination. Les lieux me disaient quelques choses, sans vraiment rien me rappeler non plus, c’était vague. Je sortais enfin du véhicule, excitée comme jamais, je ne pouvais plus me contenir, on aurait du une gamine de huit ans. Le reste de mes affaires arriveraient dans peu de temps, mais c’était le cadet de mes soucis à l’instant. Je m’empressai de payer, puis je remerciai aimablement le chauffeur qui m’avait quand même assez divertie. Sans attendre plus longtemps, j’entrai dans le hall du bâtiment, avant d’arriver enfin devant la porte de l’appartement. Sachant que mon père faisait toujours les choses en grand, j’imagine déjà à tel point le tout devait être luxueux, hm. Il se faisait déjà tard, je ne me sais même pas quelle heure il est, mais la nuit était déjà tombée, alors j’imagine qu’il se fait tard, mais je ne me souciais vraiment pas de l’heure qu’il était, après tout ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de retrouver son frère n’est-ce pas ? Ne sachant même pas s’il était présent ou pas, j’ouvris la porte telle une kamikaze, puis une fois entrer n’eût pas d’autre choix de me laisser aller en laissant échapper un soupir de satisfaction. « hm, j'imagine déjà les fêtes que je vais organiser ici. » Oui, c’était légèrement hasardeux comme expression, mais c’est la seule chose qui m’est passée par la tête, en scrutant les lieux.




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MessageSujet: Re: party hard. (pv; youngwoo)   party hard. (pv; youngwoo) Icon_minitimeLun 21 Nov - 8:05

" Party Hard "
Lee Hyun Ah & Lee Yong Woo

Sagement assit devant le grand écran plat de l’appartement, Yong Woo avait passé une grande partie de sa journée devant celle-ci. Après tout, il s’agissait d’un banal dimanche et il n’avait en réalité rien prévu. Enfin si, en disant cela il omettait qu’il avait projeté à un moment d’aller voir sa petite amie et de s’en occuper. L’idée d’être en couple était résolument quelque chose qui lui échappait totalement. Il en venait d’ailleurs à se demander pourquoi il avait accepté de sortir avec elle. « Un couple » s’était résolument quelque chose de nébuleux pour lui qui n’avait jamais été réellement en couple avec quiconque. D’ailleurs on pouvait véritablement dire que tous ses essais de relations sérieuses s’étaient voués à l’échec et qu’en réalité et qu’il avait fini par s’en abstenir en manière générale. En gros les relations de couple, c’était résolument pas son trip car il était un être indépendant, libre pour ne pas dire libertin. A vrai dire, il ne comprenait absolument pas pourquoi les filles prenaient autant la tête aux hommes pour qu’ils se mettent officiellement avec eux. Qu’est ce que ça apportait au final de faire ça ? Encore à l’époque de leurs parents, cela avait un sens mais désormais c’était résolument qu’une idée totalement saugrenue. Franchement, quel mec ne trompait pas au moins une fois l’une de ses meufs avec une autre ? Aucun, n’est ce pas ? La société actuelle était tellement libertine qu’il n’était pas rare de voir une femme courir après un autre homme alors qu’il était dans une certaine mesure casé, alors qu’elle-même sortait et couché avec un autre. Bref, il était sincérement convaincu que les êtres humains avaient toujours tendance à se créer eux même des problèmes pour donner un véritable sens à leur vie.

Pour sa part, il préférait les relations sans attaches, les coups d’un soir ou les amitiés et plus si affinités. Lorsqu’il était à New York, il n’était pas rare qu’il appelle un de ses ex pour lui demander s’il ne voulait pas qu’ils se voient pour une bonne partie de jambe en l’air comme pour passer le temps. Même sa toute première fois avait été un jeu pour lui, un pari qu’il avait fait avec sa grande sœur pour délirer comme toujours. Dans le genre paris stupides, on pouvait dire que Hyun Ah et lui étaient drôlement doués. Il se souvenait parfaitement de cette journée où ils s’étaient rendus à une soirée chez un de leurs camarades, une soirée comme les autres mais il se souvenait qu’il avait eu envie de passer le cap ce soir. Bien sur à l’époque, il n’avait que quatorze ans alors que Hyun Ah en avait seize mais on pouvait vraiment dire qu’il avait été un enfant précoce dans ce domaine. Rien qu’au souvenir de cette soirée, il ne pouvait nullement s’empêcher de sourire bêtement alors qu’il se souvenait de cette fille qui lui faisait de l’œil depuis quelque temps. Pour les jeux interdits celle-ci était dans ses souvenirs très douée, c’était elle qui avait eu son premier baiser, ses premières caresses et plus si affinités mais il fallait croire qu’aussi taquine et joueuse que lui, elle avait attendu, fait perdurer cette attraction mutuelle pour lui ouvrir cette première fois digne de ce nom. Bien entendu à Hyun Ah à cette époque ignorait totalement les jeux interdit que son amie, car oui il s’agissait bien de sa copine, lui faisait connaitre lorsqu’elle s’absentait quelques minutes pour aller se laver ou se coiffer. Autant dire que dès qu’il songeait à cette époque si innocente de sa vie, il ne pouvait s’empêcher de rire en se rappelant le regard quelque peu coupable de sa grande sœur lorsqu’il lui avait susurré en arrivant à cette soirée au creux de l’oreille. « Hyun Ah, que dirais-tu de faire un pari ? Si tous les deux, on arrive à se pécho quelqu’un dans la soirée, on se fait un tatouage ? »

Sa sœur tout comme lui était vierge. Comment le savait-il ? Sa sœur était incapable de lui cacher quelque chose et s’il avait vu qu’elle était amoureuse ou qu’elle avait un mec, il l’aurait senti à trois kilomètres. Tout ça pour dire que sa sœur avait accepté ce pari et c’était ainsi qu’il avait cédé à la merveilleuse tentation de l’acte charnel qu’était la luxure. Depuis ce jour là, tout comme sa sœur il s’était découvert une passion pour cette pratique, ce libertinage sans prise de tête et attache. Souriant à cela, il ne pu s’empêcher de soulever son pull devant un miroir pour apercevoir le souvenir de cette soirée, ce tatouage qu’ils avaient fais à trois heures du matin dans un quartier assez chaud de la ville pour célébrer cette première expérience. Il laissa donc son regard doux se poser sur son tatouage alors qu’il prenait conscience que Hyun Ah l’inquiétait. C’est vrai qu’à cause de l’accident, leur relation avait quelque peu prit un chemin différent. Elle s’était sacrifiée pour lui, elle avait abandonné son destin pour s’occuper de lui et à vrai dire même s’il ne lui avait jamais touché un mot à ce sujet, il lui en était plus que reconnaissant. Seulement, il ne s’était jamais vu le lui dire, trouvant cela totalement idiot. Elle l’aurait sans aucun doute engueulé en songeant que peut être il culpabilisait à ce sujet, ce qui était peut être le cas. Bien que sa présence avait été indispensable, il savait ô combien de fois, il s’était trouvé injuste avec elle lorsque la douleur l’avait obligé à être abjecte avec elle. Il se souvenait ô combien il lui avait été pénible de ravaler ses larmes de honte, de colère d’être incapable de marcher, de se déplacer lui-même pour aller jusqu’à la salle de bain de l’appartement pour aller aux toilettes. Elle avait du à chaque fois l’aider, être son garde malade alors qu’elle aurait du poursuivre sa voie sans se soucier de lui. Elle avait sacrifiée deux ans de sa vie et lui était parti ici pour se reconstruire sans lui faire part de sa reconnaissance. Bien entendu, il savait bien que sa sœur n’en avait que faire mais il se demandait comment elle allait. C’est vrai que depuis qu’il était arrivé, il avait appelé peu de fois chez lui. Il avait plus tendance à faire un vif coucou de la main à sa mère lorsque son père était en vidéo conférence avec elle comme à chaque fois qu’eux deux avaient du temps.

Autant dire que ce n’était pas aujourd’hui que son père allait appeler sa mère. S’il se souvenait bien, il partait de nouveau en studio pour enregistrer le nouvel opus de la star montante de sa boite. Selon ses dires, il fallait absolument qu’il écoute ça et qu’il passe le voir s’il avait le temps. S’il n’avait pas eu si mal à la jambe à cause de l’humidité ambiante, peut être qu’il y serait allé mais même en prenant ses comprimés de méthadone la douleur était toujours présente et il préférait s’abstenir de tout effort. C’est donc avec spontanéité qu’il se laissa pleinement mouvoir dans les cousins du canapé alors qu’il zappait sur une chaine américaine pour regarder une émission de son pays natal. Il ferma donc quelques instants ses paupières tandis qu’il entendait au fond le majordome de la maison s’affairait à faire la cuisine pour le monsieur qu’il était. Yong Woo avait beau lui dire qu’il ne fallait pas qu’il se donne la peine qu’il pouvait se faire lui-même à manger, ce gentil homme prenait toujours la peine de lui préparer quelque chose. Un véritable papa poule, ce qui changeait énormément du géniteur qui quant à lui était aussi indépendant qu’il ne l’était. La seule différence entre lui et son père, c’était qu’il était profondément amoureux de leur mère et qu’il ne l’avait jamais trompé. Ça, il en était plus que certain et c’est pour cela que le couple de ses parents fonctionnait si bien.

Il se demandait parfois si un jour, il rencontrerait une personne qui lui inspirerait assez d’émotions et d’amour pour qu’il ne ressente plus jamais l’envie de voir ailleurs, de succomber aux charmes des autres. Dans tous les cas, ce n’était résolument pas Eun Chan pour le moment. Sans s’en rendre compte et souvent sur l’impulsion du moment, il l’avait trompé à de nombreuses reprises, bien qu’il ne s’agisse que de simples baisers en fin de compte. C’est alors qu’il pensait à cela, qu’il entendit un bruit émanant de la porte d’entrée annoncer l’arrivée d’une personne. Il se demanda si c’était son père mais étant donné ce qu’il lui avait dit la vieille, il était bien trop tôt pour qu’il prenne une pause ou vienne prendre une douche. En tout cas, cette personne disposée des clés de l’appartement. Il se contenta alors seulement d’ouvrir les yeux alors qu’il penchait la tête en arrière pour apercevoir l’entrée. Il lui fallut quelques secondes pour pouvoir apercevoir la silhouette qui pénétrer dans l’appartement.

« Hm, j’imagine déjà les fêtes que je vais organiser ici. » Lança cette personne dans un ton que Yong Woo connaissait par cœur.

Cette voix, cette silhouette…c’est Hyun Ah. A vrai dire, il resta de longues secondes ainsi penché la tête en arrière sur le canapé alors qu’il prenait peu à peu conscience que c’était bien elle. Lorsque cette information parvint à se faire un chemin dans son esprit, il ne pu s’empêcher de sourire de toutes ses dents alors qu’il se levait d’un bond pour aller à sa rencontre. Face à sa précipitation, il manqua de tomber une ou deux fois alors qu’il faisait le tour des fauteuils qui étaient invisibles pour l’œil de sa grande sœur, bloqué par les murs de l’appartement. Ce qui le rassura car ainsi elle remarquait nullement qu’il avait toujours quelques difficultés à marcher. Il mit donc quelques dizaines de secondes pour se rendre à l’entrée pour l’y retrouver. C’est donc dans un grand sourire qu’il vint la prendre dans ses bras avec empressement en la serrant fortement contre lui.

« Hyun Ah !? Mais qu’est ce que tu fais ici ? Papa ne m’a absolument pas dit que tu venais à Séoul ! Comment vas-tu ? Et les cours à l’université, ça va ? Pas trop dur de reprendre les cours après deux ans ? Et maman ? Elle va bien ? Ses concertos se passent bien comme toujours ? »

Reprenant son souffle, il ne pu résister à l’envie de lui faire pleins de bisous tout heureux de la revoir. Il la couvrit alors de pleins de bisous tendres alors qu’il ne la lâchait pas. Dieu, il n’y avait rien à redire, c’est vraiment lorsqu’on se retrouve face à ses proches qu’on remarque ô combien, ils nous ont manqués. Et une chose était sure, elle lui avait horriblement manqué…

TENUE : 01.
VUE DU SALON : 01. 02. 03. 04.



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MessageSujet: Re: party hard. (pv; youngwoo)   party hard. (pv; youngwoo) Icon_minitimeDim 27 Nov - 1:20

-gros retard, & réponse pas terrible, vraiment désolé ><-

A peine arrivée que je me sentis déjà comme chez moi. La question que je m’étais posé en rentrant resta peu de temps sans réponse, car j’entendis le bruit de ses pas bien que ne sachant pas d’où ils venaient n’étant pas encore complètement familière avec les lieux. Ça ne faisait que quelques mois qu’on ne s’était pas vu et pourtant j’avais l’impression que c’était une éternité. L’idée de le revoir de nouveau m’excitait intérieurement. C’est en quelques secondes que je pu enfin le voir apparaitre. Il ne me fallut pas plus de quelques secondes pour me rendre compte qu’il n’avait pas changé d’un pouce, et j’en étais heureuse. Sentir enfin ses bras m’enlacer, sa chaleur, et pouvoir respirer le même air… des petites choses insignifiantes pour certains qui me faisaient tellement plaisir. « Hyun Ah !? Mais qu’est ce que tu fais ici ? Papa ne m’a absolument pas dit que tu venais à Séoul ! Comment vas-tu ? Et les cours à l’université, ça va ? Pas trop dur de reprendre les cours après deux ans ? Et maman ? Elle va bien ? Ses concertos se passent bien comme toujours ? »

A peine arrivée, que l’interrogatoire commençait. Tellement de chose à dire que je ne savais pas vraiment par où commencer, surtout que je savais que certaines choses ne lui feraient pas forcément plaisir. Enfin, le plus important déjà, était que papa n’avait rien dit et que l’effet de surprise que j’avais voulu provoquer avait totalement marchée ; j’étais totalement fière de ma réussite. En parlant de ce que je fais ici, je pense que je n’aurais pas le courage de lui dire que son absence m’était devenue insupportable, et que j’avais tout lâché de nouveau juste pour lui. D’un côté, c’était assez honteux d’être aussi dépendante n’est-ce pas ? Surtout que lui avait réussie à s’émanciper, alors que moi la plus vielle, je n’y arrivais toujours pas. Maman m’avait bien prévenue que j’aurais dû rester, mais je n’en ai fait qu’une fois de plus qu’à ma tête. Je m’écartais finalement un peu de lui, pour le regarder de haut en bas, il avait l’air d’aller plutôt bien. Ça peut paraitre prétentieux mais j’ai toujours eu l’impression que sans moi il aurait du mal à se débrouiller, mais maintenant j’ai l’impression d’avoir plus que tort. Néanmoins je ne regrette pas d’être venu car je sais que tôt ou tard il aura bien besoin d’une âme protectrice puisque papa est plus un fantôme qu’autre chose. « surpriiiise !» Je ne pouvais m’empêcher d’esquisser un large sourire. Sans vraiment par où commencer, et par quoi continuer, je me contentai de dire ce qui me passait par la tête sans trop réfléchir. « Ça va, mais pas autant que toi, tu as l’air d’être forme. » Bon certe, son pull large ne me trompait pas, il avait l’air un peu maigrichon mais étant donné qu’il a toujours été comme ça… Si seulement je pouvais m’arrêter là, je l’aurais bien fait.

L’université c’était bien autre chose. Je ne vais pas me mentir, j’adorais cette école, elle était faite pour moi. De plus, les débouchées qu’elle m’apportait était au-delà de mes espérances et j’étais sûr de pouvoir faire ce que je voulais à la fin de mon cursus. Bien qu’assez fêtarde, j’ai toujours été un minimum studieuse, et retrouver les bancs de l’école m’avait assez fait plaisir, je dois l’avouer. Et même si j’avoue avoir un léger pincement au cœur d’avoir laissé tout ça, s’il fallait le faire une deuxième fois je l’aurais fait. On ne vit qu’une fois, et je ne voyais aucun problème à se faire guider par ses pulsions. Mais évidemment, je n’allais rien lui dire de tout ça, ne voulant pas qu’il se sente coupable ou quoi que ce soit d’autres. « L’université ? Euh, ça allait, mais ce n’était pas aussi amusant que je le pensais. C’était même carrément ennuyeux, c’est dur de redevenir un petit soldat après deux ans de liberté. » Moi, mentir mal ? Bien sûr que non. « Comme ce n’était vraiment pas pour moi, j’ai décidé de faire une pause. » Bon, je n’avais pas vraiment envie de m’étaler sur le sujet non plus. Pas que je n’aimais pas être le centre d’attention, mais depuis le temps j’aurais aimé savoir aussi comment ça c’était passé pour lui, et s’il arrivait à survivre sans maman et moi. Je n’allais pas lui dire qu’elle s’inquiétait et que si ça ne tenait qu’à elle, ni lui ni moi ne serions à Séoul à l’instant présent. Mentir n’était pas dans mes habitudes mais je ne voulais en aucun cas lui gâcher sa joie après de si bonnes retrouvailles. Et puis d’un autre côté je suis sure qu’elle est heureuse de nous voir grandir aussi bien. « Tu lui manques, mais elle va bien. En plus, elle n’arrêtait pas de parler de toi, j’ai failli en devenir jalouse ! » C’était bien sur le ton de la rigolade, hm. Enfin, j’aurais pu discuter de moi, ma vie, et mes choix pendant des heures mais ce n’était pas si intéressant que ça, surtout que je mourrais d’envie de savoir ce qu’il avait fait depuis. Les mois précédents je me plaisais à imaginer ce qu’il faisait au moment exact, sans pouvoir confirmer mes pensées. J’avoue que j’aurais aimé pouvoir plus lui parler, mais j’avoue que le fait d’attendre et de découvrir ça un peu plus tard m’émoustillait un peu plus. J’étais tout ouïe pour qu’il me raconte ses aventures ici et surtout ses nouvelles rencontres. J’aime les ragots, et je l’assume. J’aurais aimé aussi lui demander si sa jambe va mieux, mais ne voulant pas parler de chose sérieuse pour le moment, j’allais m’abstenir. « Mais assez parler de moi. Puisque tu ne nous donnais pas assez de nouvelles, je suis venue les chercher en direct. » C’était une façon plus discrète de lui faire un reproche sur le peu de nouvelles qu’il donnait, même si je ne lui en voulais pas. En y réfléchissant, je me demandais si je devais lui dire que je comptais m’installait ici définitivement et que ce n’était pas juste une ‘visite de courtoisie’.





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MessageSujet: Re: party hard. (pv; youngwoo)   party hard. (pv; youngwoo) Icon_minitimeLun 5 Déc - 5:02

Indépendant, on ne pouvait nier le fait que le jeune homme faisait parti de cette catégorie de personne qui avait toujours pour principe d’avancer dans la vie quoiqu’il arrive. Il donnait alors la sombre impression d’être un loup solitaire qui ne souhaitait voir quiconque venir se poser sur sa route pour l’obliger à prendre une pose et l’écartait de sa quête qu’était le long chemin de la vie sur lequel il avançait. Pourtant, amical, souriant et taquin, il aimait énormément la compagnie des autres, appréciait les rires qu’ils provoquaient dans son être, l’inspiration qu’ils lui invoquaient mais en contrepartie, il avait pour principe de ne pas trop s’attacher. Autant dire que c’était un paramètre qui revenait souvent à la charge lorsqu’il rencontrait quelqu’un qui contrairement à lui demandait souvent une compensation à son amitié, que ce soit de l’attention ou autre et qui était le sujet de pas mal de disputes. Dire qu’il se moquait éperdument des soucis et de la vie de ses amis était quelque chose de totalement indépendant de sa volonté. Il n’était pas un salop et si on pouvait bien lui reconnaitre une chose c’était bien qu’il prenait toujours en considération ce que pensaient les autres, après écouter leur conseil, ça c’était une autre histoire. Forte tête et orgueilleux à souhait, il savait parfaitement qui il était et s’il avait bien quel chose en horreur, c’était bien qu’on tente de lui inculquer une raison qui lui convenait pas. Croire qu’il était ignorant et qu’il avançait aveuglement face à l’adversité était bien mal le connaitre tout simplement. Il avait pleinement conscience où les chemins qu’il empruntait le mener et en toute honnêteté, aussi blessante que pouvait être cette vérité pour ces amis, il n’avait tendance qu’à écouter pleinement les conseils avisés de certaines personnes. Et l’une d’entre elles se trouvaient présentement face à lui à l’heure actuelle.

Hyun Ah, au même titre que sa mère et sa meilleure amie, faisait partie de ces personnes qui lui avait permit de se construire tel qu’il était aujourd’hui. De deux ans sa cadette, elle avait été comme une mère, une sœur, une amie pour lui, elle était aussi similaire à sa personne qu’une fausse jumelle aurait pu l’être. Ils avaient été indissociables durant de longues années et cette idée l’avait toujours ravi car cela voulait dire que leur relation n’avait point égal. C’était ça le vrai problème du jeune homme en réalité, il faisait parti de ses êtres qui cherchait toujours dans ces relations l’élément qui rendrait celle-ci à jamais inégalable avec une autre. Le reste n’ayant au fond que très peu de valeurs à ses yeux. Des amis c’était assez facile de s’en faire par dizaine, par centaines, il suffisait seulement d’être là quand il fallait, les faire rire, les divertir tout en s’amusant soit même mais des liens aussi forts qu’il en avait avec Hyun Ah, sa mère, Hailey, voir même avec Jun Kyung ça s’étaient à jamais inégalables. Alors peut être que contrairement à ce qu’on pouvait y penser, il ne semblait nullement pâtir de leur absence, il lui suffisait alors seulement de les avoir face à lui, comme à l’instant présent pour se rendre pleinement compte que oui, même s’il avait avancé sur le chemin il en allait de soit que ces êtres avaient cruellement manqués à son âme.

Il est donc évidant que des milliers de questions se bousculaient dans son esprit en n’ayant qu’une hâte de les poser. Sans aucun doute que si sa cage thoracique lui aurait permit de continuer sur sa lancée, il l’aurait fait sans aucun doute. Il faut dire que son arrivée était une surprise contre toute attente et il ne pouvait nier qu’il était encore sous le choc. Il ne savait pas du tout à quoi était du sa présence à ses lieux, ni même la durée de son séjour. Oh bien entendu en songeant à cela il ne pensait nullement au fait que sa présence allait le gêner, ni même qu’elle allait être une menace, si ce n’est qu’il allait résolument devoir faire attention aux apparences et surtout le niveau des médicaments que devraient être normalement dans la boite, chose qu’il avait cessé de faire. Son père lui faisait confiance, le majordome de l’appartement semblait ne nullement se soucier de cela supposant aisément que le maitre de la maison était assez grand pour savoir ce qu’il faisait. Oui en y réfléchissant bien, sa vie à Séoul était au moins parvenu à lui enlever un poil des épaules et la seule présence de la demoiselle en ses lieux, lui faisait amplement comprendre que ce poids s’était de nouveau affaissé sur ses frêles épaules.

Seulement il n’eut nullement plus de temps de songer à tout cela car Hyun Ah prit enfin la parole alors qu’il avait cessé ses baisers de retrouvailles pour la laisser aisément le temps de respirer et lui répondre. « Surpriiiise ! » lui lança-t-elle dans un large sourire alors qu’il faisait de même. Pour une surprise, on pouvait véritablement dire que s’en était une et son petit doigt lui disait qu’elle était de mèche avec leur père…quoique l’éventualité que leur paternel ait oublié de lui en parlait était tout à fait possible.

Bien qu’il ne fût pas un mauvais père, on ne pouvait pas vraiment dire que M.Lee était un père très attentionné envers ses progénitures. Seulement Yong Woo le comprenait sans doute mieux que personne, sans aucun doute du au fait qu’ils étaient identique. M.Lee ne vivait que pour son travail de producteur, il ne semblait jamais autant emballé que lorsqu’un nouveau opus d’un de ses talents étaient prévus au programme et qu’importe si durant de longues semaines son quotidien se résumait à studio, studio et encore studio, il était pleinement heureux, vivant. Oui, la musique était résolument une muse à elle-même et sans hésiter elle était également la sienne, la femme de sa vie, la seule à laquelle il était fidèle même démuni d’une main pour l’exercer pleinement.

« Ça va, mais pas autant que toi, tu as l’air d’être en forme. » ajouta sa grande sœur en commença à répondre à ses réponses. Il se contenta seulement de sourire comme toujours bien qu’au fond de lui-même, il savait plus que quiconque que tout cela était un artifice. Cela faisait des années qu’il parvenait à se tenir debout qu’à forte dose de méthadone, ce qui lui permettait ainsi d’avoir reprit un semblant de vie sociale et d’habitudes qui lui avaient fais cruellement défaut durant de longs mois pour ne pas dire une année complète. Seulement cela était un secret pour quiconque et d’autant plus pour la demoiselle qui se trouvait devant lui. Comment avouait que les miracles qui s’étaient produits n’étaient que le fruit de son addiction à cette drogue qu’était l’antidouleur en question ? Sans aucun doute que si elle en avait eu vent, elle aurait été sans doute été déçue et triste qu’il soit capable à ce point de lui mentir, elle qui croyait si ardemment être la seule à pouvoir lire entre les lignes. Peut être était ce pour cela qu’il avait baissé le regard quelques secondes comme si de rien n’était pour tenter de chasser cette vilaine culpabilité de venir le hanter. Fort heureusement pour lui, sa sœur continua sur sa lancée en poursuivant. « L’université ? Euh, ça allait, mais ce n’était pas aussi amusant que je le pensais. C’était même carrément ennuyeux, c’est dur de redevenir un petit soldat après deux années de liberté. »

A cette phrase, il ne pu s’empêcher de froncer légèrement le sourcil alors qu’il avait une légère mauvaise impression. Certes et bien que tout comme lui, Hyun Ah appréciait grandement la liberté, elle était également très ambitieuse et étrangement cela lui ressemblait nullement de laisser tomber. Elle faisait partie de ses femmes qui savaient où elles allaient et à ses yeux, ce n’était pas résolument une réponse des plus honnête qu’elle lui offrait. Peut être parce qu’il y avait un fait qui l’avait porté à s’écarter du droit chemin, à se diriger dans une nouvelle voie de nouveau que celle qu’elle s’était toujours décidé à suivre ? Sans aucun doute et il en était intimement persuadé mais il ne dit mot la laissant poursuivre alors qu’elle ajoutait que ce n’était vraiment pas pour elle et donc qu’elle avait décidé de prendre une pause, décidée à ne point s’étaler sur le sujet mais Yong Woo était résolu à avoir le fin mot de l’histoire dès qu’il en aurait l’occasion.

« Tu lui manques, mais elle va bien. En plus, elle n’arrêtait pas de parler de toi, j’ai failli en devenir jalouse ! » Ajouta-t-elle dans un ton qui se voulait bien entendu amuser. Souriant à cette remarque, il ne pu s’empêcher de lui taper du dos de la main l’épaule dans un geste tendre et amusé.
« Dis plutôt, que vous ne pouviez pas vous empêcher de parler de moi… je sais bien que je vous ai manqué. D’ailleurs ça ne m’étonnerait pas que tu sois venue uniquement parce que tu pouvais plus te passer de moi, noona. » Avait-il murmuré dans un clin d’œil alors qu’il riait faiblement à sa remarque.

Était-il sérieux ? Assurément, sa sœur ne pouvait pas se passer de lui, c’était un fait qui n’avait plus besoin d’être vérifier car il était résolument réciproque. Certes, son attachement à sa sœur était un peu plus faible que celui de son ainé, mais la chose qui était sure c’est qu’elle ne quittait pas la moindre de ses pensées. Après tout, n’était-ce pas avec elle ou Hailey qu’il avait eu les plus gros délires, les paris débiles qui faisaient qu’ils devaient courir comme des fous après avoir accompli leurs méfaits toujours légaux ? Si et il était évidant qu’une partie de cette raison faisait qu’elle se trouvait là désormais devant lui.

« Mais assez parler de moi. Puisque tu ne nous donnais pas assez de nouvelles, je suis venue les chercher en direct. » Affirma-t-elle d’un air bien décidée à lui tirer les vers du nez, ce qui l’amusant grandement alors qu’il tirait comiquement la langue dans un air faussement désolé.

Mea culpa, aurait-il eu envie de dire en signe de réponse mais n’en fit rien, son expression pleinement ce fait. Lorsqu’on connaissait Yong Woo, on savait une chose : si tu voulais avoir des nouvelles de lui, il fallait venir à lui. Les lettres et tout cela était quelque chose qu’il avait en horreur, si on mettait de côté sa correspondance avec Anna, la seule avec qui il avait tenu le rythme d’une lettre par semaine, un exploit très important à souligner. Seulement voila, il n’avait pas ce dit reflexe que les gens avaient pour principe d’établir entre eux, une sorte de lien qui se voulait quotidien bien que leurs êtres étaient à l’autre bout du monde. Comme il n’était pas du genre à regarder droit derrière lui ou à côté de lui mais bien devant lui, il devait reconnaitre que oui, il avait tendance à faire le mort et ce malgré lui.

Il l’invita donc à venir au salon alors qu’il faisait en sorte de marcher correctement sans aucun signe de faiblesse. Pour masquer ses douleurs, il s’efforça à ne point y penser alors qu’il glissait sa main derrière le dos de sa sœur pour la faire passer devant lui en ajoutant dans une voix taquine et une expression tout aussi amusée.

« A t’entendre parler, on dirait que j’ai fais le mort. J’ai souvent parlé à maman quand elle parlait à papa en webcam. Puis tu me connais, non ? Tu aurais du m’appeler si je te manquais, noona… Alala… pauvre maman, être abandonnée par ses deux enfants parce que l’ainée, ne peut pas se passer du petit frère…que c’est mignon ! »

Se moquait-il de sa grande sœur ainsi ? Totalement mais cela était bien innocent et tendre pour lui alors qu’il se laissait tomber sur le divan du salon. Sans même qu’il n’est eu à lever le petit doigt, aussi paramétré comme une machine, le majordome avait ramené des rafraichissements sur la table basse qui se trouvait au centre du salon, chose qui le fit sourire alors qu’il glissait sa main derrière sa nuque pour se défroisser les muscles qui s’étaient mystérieusement un peu raidis.

« Tu sais, y’a pas grand-chose à dire de ma vie ici… pas qu’elle soit ennuyante, loin de là… c’est juste qu’elle est totalement différente de celle que j’avais à New York. Est-ce bien ou mal, à vrai dire j’en sais rien…je m’y suis fais, je pense. Je ne mentirais pas que le rythme que j’avais de train de vie me manque mais tu sais tout aussi bien que moi, qu’il m’est désormais impossible de redevenir celui que j’étais. Je me suis fais une raison… et je tente de construire une nouvelle vie ici. » Avait-il seulement murmuré en reposant sa tête contre le dossier du divan alors que ses yeux se perdaient dans les images que reflétaient l’écran plasma du salon.

Ne voulant nullement se laisser de nouveau rattraper par de sombres pensées, il se contenta seulement de s’ébouriffer les cheveux et vint se relever doucement pour se verser un verre d’eau, faisant de même à sa sœur pour lui tendre son verre. En silence, il bu doucement une gorgée qui eut le don de venir soulager un peu son être à cette remarque de sa part et c’est dans une voix un peu plus éclairée et douce qu’il ajouta.

« Le glee club m’aide beaucoup je dois le reconnaitre, ça me fait du bien de mettre mes talents aux services de quelque chose d’aussi concret qu’auparavant. Par contre je dois reconnaitre que nos amis coréens sont bien plus coincés que nos compatriotes. Des véritables enfants parfaits, s’en est presque fatiguant je dirais. »

Riant à sa remarque, son regard s’était de nouveau mit à pétiller dans le regard. Était-ce une façon dissimulée de dire à sa sœur que sa présence en ses lieux devait modifier la chose ? Assurément, après tout si elle était là, autant qu’ils s’amusent de nouveau tous les deux ensembles, non ?



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